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& Réalisations
Découvrez une sélection de projets qui reflètent mon univers et mes explorations artistiques
Chaque projet est l’occasion d’expérimenter, de raconter une histoire et de donner vie à des idées singulières. Vous trouverez ici un aperçu de mes réalisations passées et en cours, entre gravure, collage et collaborations artistiques.
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Techniques Mixtes
La série de travaux « gravures et collages » a débuté en 2002 et reste une technique qui m’est chère. Je commence toujours mon travail par une gravure ou un monotype en y prévoyant le collage lors du passage sous presse.
La gravure peux être par la suite complètement recouverte ou dissimulée, elle peut être
également faite sur le verre qui encadre le collage, pour, sous l’effet de l’éclairage, faire apparaitre le dessin sur le collage. L‘équilibre de des deux forces plastique et graphique se joue au travers de celle de la couleur et du noir et blanc. C’est dans cette dualité que je recherche inlassablement l’harmonie et l’équilibre.
La gravure peux être par la suite complètement recouverte ou dissimulée, elle peut être
également faite sur le verre qui encadre le collage, pour, sous l’effet de l’éclairage, faire apparaitre le dessin sur le collage. L‘équilibre de des deux forces plastique et graphique se joue au travers de celle de la couleur et du noir et blanc. C’est dans cette dualité que je recherche inlassablement l’harmonie et l’équilibre.
Encres
Mon travail à l’encre de chine et feuille d’or a été une pratique constante et parallèle à ma pratique de la gravure et du dessin.
Mes recherches en gravures, collages, encres et collages se nourrissent les uns des autres.
Ma recherche est celle de la confrontation des contraires, les oppositions et les alliances des univers ou sombres ou flamboyant.
L’or et l’encre de chine cheminent vers l’alliance et l’harmonie, elles se mêlent dans une danse avec l’eau et le papier pour nous offrir l’émerveillement de l’alliance des contraires...
Mes recherches en gravures, collages, encres et collages se nourrissent les uns des autres.
Ma recherche est celle de la confrontation des contraires, les oppositions et les alliances des univers ou sombres ou flamboyant.
L’or et l’encre de chine cheminent vers l’alliance et l’harmonie, elles se mêlent dans une danse avec l’eau et le papier pour nous offrir l’émerveillement de l’alliance des contraires...
Gravure et Monotype
Je travaille plus particulièrement le monotype, une technique apparentée à la gravure ainsi que la gravure dite «expérimentale» : plexiglas pyrogravé, collages, gaufrages...
Mon travail de gravure s’accompagne très souvent d’un travail d’empreinte, de gaufrage dans le creux du papier. La gravure en tant que telle se transforme, comme pour le travail présenté ci-contre, la gravure blanchie, et finit par ne plus être que la trace de cette empreinte dans le papier, le procédé de la gravure finissant par prendre le pas sur l’impression elle-même. Un travail de couture accompagne cette série. Du noir nous allons vers un blanc qui couvre et révèle son contraire, les lignes de fil blanc révèlent la force de cette empreinte blanche cousue face à son contraire. Noir et blanc ainsi s’opposent l’un à l’autre, de l’un vers l’autre... d’une force équivalente et contraire.
La série des « bois tatoués» a commencé en 2015. J’utilise les techniques de la gravure sur bois et de l’encrage spécifique des bois gravés. La sinuosité du bois vient épouser la courbe de la gravure, la matrice devient ainsi non plus un simple élément de l’étape de création, mais prend sa place d’oeuvre à part entière. Le bois tatoué, gravé encré devient peinture, sculpture, gravure...
Mon travail de gravure s’accompagne très souvent d’un travail d’empreinte, de gaufrage dans le creux du papier. La gravure en tant que telle se transforme, comme pour le travail présenté ci-contre, la gravure blanchie, et finit par ne plus être que la trace de cette empreinte dans le papier, le procédé de la gravure finissant par prendre le pas sur l’impression elle-même. Un travail de couture accompagne cette série. Du noir nous allons vers un blanc qui couvre et révèle son contraire, les lignes de fil blanc révèlent la force de cette empreinte blanche cousue face à son contraire. Noir et blanc ainsi s’opposent l’un à l’autre, de l’un vers l’autre... d’une force équivalente et contraire.
La série des « bois tatoués» a commencé en 2015. J’utilise les techniques de la gravure sur bois et de l’encrage spécifique des bois gravés. La sinuosité du bois vient épouser la courbe de la gravure, la matrice devient ainsi non plus un simple élément de l’étape de création, mais prend sa place d’oeuvre à part entière. Le bois tatoué, gravé encré devient peinture, sculpture, gravure...
Sur les chemins de l'art
Une aventure théâtrale unique mêlant histoire de l’art, déambulations immersives et sensibilisation à la déficience visuelle. À travers l’humour, l’interaction et les œuvres
de Caroline Hume, ce spectacle interroge notre rapport à l’art, à la différence et à l’inclusion.
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Cette création théâtrale originale propose une traversée de l’histoire de l’art, depuis la préhistoire jusqu’à l’art contemporain, en explorant divers lieux emblématiques à travers le monde et en mettant en lumière l’évolution des techniques artistiques.
Au cœur de l’histoire, deux gardiens de musée... sans musée à garder. Par leur jeu clownesque et poétique, ils invitent le public à un voyage ludique et interactif dans l’univers des œuvres plastiques de Caroline Hume.
La pièce se décline en trois tableaux théâtraux et deux marches déambulatoires qui constituent des moments clés du spectacle. Ces déambulations immersives permettent au public, et plus particulièrement aux enfants, de vivre une expérience unique :
• La première marche repose sur l’observation visuelle et l’échange.
• La seconde marche introduit une expérience inédite autour de la déficience visuelle,
offrant un apprentissage des techniques internationales de guidage.
• Brigitte Chemin et Yann Szpak – Comédiens
• Caroline Hume – Artiste peintre et graveur
• Christian Borget – Assistant en charge de l’harmonisation artistique et pédagogique
de Caroline Hume, ce spectacle interroge notre rapport à l’art, à la différence et à l’inclusion.
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Cette création théâtrale originale propose une traversée de l’histoire de l’art, depuis la préhistoire jusqu’à l’art contemporain, en explorant divers lieux emblématiques à travers le monde et en mettant en lumière l’évolution des techniques artistiques.
Au cœur de l’histoire, deux gardiens de musée... sans musée à garder. Par leur jeu clownesque et poétique, ils invitent le public à un voyage ludique et interactif dans l’univers des œuvres plastiques de Caroline Hume.
La pièce se décline en trois tableaux théâtraux et deux marches déambulatoires qui constituent des moments clés du spectacle. Ces déambulations immersives permettent au public, et plus particulièrement aux enfants, de vivre une expérience unique :
• La première marche repose sur l’observation visuelle et l’échange.
• La seconde marche introduit une expérience inédite autour de la déficience visuelle,
offrant un apprentissage des techniques internationales de guidage.
• Brigitte Chemin et Yann Szpak – Comédiens
• Caroline Hume – Artiste peintre et graveur
• Christian Borget – Assistant en charge de l’harmonisation artistique et pédagogique
Madame Alice
Environ 100 personnes : des parents accompagnés de leurs enfants – se sont réunies dans la salle Pierre-Quivaux pour assister à la pièce « Madame Alice », une libre revisitation du célèbre Alice au pays des Merveilles. Ici, la petite Alice a grandi : elle est devenue une grand-mère fantasque et poétique. L’œuvre originale n’apparaît qu’à travers quelques clins d’œil – le lapin blanc, le jeu de cartes… autant de prétextes pour entraîner petits et grands dans un voyage féerique.
Le décor, volontairement épuré, laisse toute la place à l’imaginaire. Une grande roue, actionnée par Caroline, tourne en ombre chinoise, tandis que Brigitte, à l’aide de quelques accessoires, déploie son récit. Les enfants, d’abord intrigués, se laissent peu à peu emporter, reprenant bientôt en chœur une phrase du conte :
« Il faut convier un lapin blanc pour faire un goûter délicieux. »
Malgré la richesse du texte, l’attention ne s’est jamais relâchée : les jeunes spectateurs ont été captivés, et la magie a bel et bien opéré.
Le décor, volontairement épuré, laisse toute la place à l’imaginaire. Une grande roue, actionnée par Caroline, tourne en ombre chinoise, tandis que Brigitte, à l’aide de quelques accessoires, déploie son récit. Les enfants, d’abord intrigués, se laissent peu à peu emporter, reprenant bientôt en chœur une phrase du conte :
« Il faut convier un lapin blanc pour faire un goûter délicieux. »
Malgré la richesse du texte, l’attention ne s’est jamais relâchée : les jeunes spectateurs ont été captivés, et la magie a bel et bien opéré.
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